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10/03
Art

ICI L’ART N° 30 !!!!

On a pu documenter la sidération dont furent saisis les artistes, rendus comme impuissants à représenter la Grande Guerre par les moyens qui étaient les leurs, ceux du futurisme ou du cubisme.

C’est la démonstration que fait Philippe Dagen dans « Le silence des peintres », paru chez Hazan en 2012.

Il semble bien que « Le tragique contemporain exige le sacrifice des effets avant-gardistes ».

Pour cette « peinture de l’insoutenable », c’est chez les maîtres allemands de l’art ancien que Otto Dix va se ressourcer, pour tenter une « nouvelle objectivité» qui constitue un évident hommage au Grünewald du polyptique de Colmar.

Pour lire l’article de Jean-Paul Salles, cliquez sur le lien  « 👉 ».

Le lien suivant (–> « La Guerre – Otto Dix« ), issu de l’application Google Arts & Culture, vous donnera accès à une excellente reproduction de l’œuvre de Otto Dix que vous pourrez examiner en détail au moyen du Zoom.

 

Jean-Pierre Debauve