Durant cette conférence, des expressions ont été utilisées, telles que :

«  Prendre aux meilleurs pour donner aux pires »

« Laisser-faire »

«  Laisser-fairisme »

« Ne demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour votre pays » (J.F. Kennedy)

«  This is no alternative » (Magaret Thatcher)

« Le gouvernement fixe un cadre qui sera utilisé comme bon vous semble »

Éric Puisais, dans un premier temps, a repris la définition du « néolibéralisme » du dictionnaire Larousse de 1998 :

« Doctrine libérale des années 1970 qui accepte une intervention limitée de l’Etat. C’est le laisser-faire »

Puis la définition du Larousse de 1978 :

« Doctrine économique qui prétend rénover le libéralisme en rétablissant ou en maintenant le libre jeu des forces économiques, l’initiative des individus et la recherche de l’intérêt personnel par une action adéquate de l’Etat et du point de vue juridique »

Puis celle de 1963… etc.

Il a fait observer l’évolution de la définition suivant les années prises en compte.

Ensuite,  il a présenté Graham Wallas et Walter Lippmann (1889-1974), auteur de « La Cité Libre », une étape importante dans la constitution des néolibéralismes et vers la création de la société du Mont Pélerin.

Puis il a parlé de mondialisation, de redimensionnement des échanges, d’individualisme, de la grande crise des années 1930, d’industries trop libres, de mouvements syndicaux, de réglementation du travail, du Front Populaire, de la guerre froide et d’Etat providence…

L’auditoire était captivé, de nombreux adhérents de l’UTL ont pris des notes sur cette conférence bien menée par Eric Puisais.

Le temps des questions -réponses et des réflexions a suivi et a permis à tout un chacun d’en savoir plus encore dans ce domaine.

Nous vous proposons de partager la dédicace d’Eric Puisais    👉 Dédicace

Édith Ricque