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18/11
Art

ICI L’ART N° 19 !!!!

C’était l’objet d’une conférence qu’il avait prévu de nous donner en avril 2020 dans le cadre de notre cycle « Primitif » : « Max Ernst ou la mise en valeur du bizarre, du primitif, de l’inquiétant », conférence dont la COVID aura eu, provisoirement, raison.

Le goût de de Max Ernst pour l’art des Indiens Hopi et leurs poupées Kachinas l’inscrivait incontestablement dans ce thème du « Primitif ».

Avec Dorothea Tanning, c’est une introduction au thème 2020/2021 que nous allons très à propos trouver, puisqu’il s’intitulera, quelle que soit la date où nous pourrons le mettre en œuvre, « De l’art et des femmes ».

Outre que Dorothea Tanning fut la « femme de » Max Ernst, n’apprend-t-on pas qu’elle fut aussi « une des premières femmes qui osent renverser le point de vue érotique dans l’art, sa peinture exprimant les fantasmes de la femme, individu à part entière et non plus seulement comme projection du désir de l’homme ».

 

⇒ « Le Capricorne »

 

 

Jean-Pierre Debauve