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ICI L’ART N° 35 !!!!
Son très riche article ne saurait pour autant prétendre à l’exhaustivité, tant la carrière de ce peintre prolixe est diverse et abondante.
En cette période de bicentenaire de Napoléon, l’évocation des deux tableaux de 1814 arrive à point nommé pour nous inviter à regarder notre histoire en face, sans céder à la tentation des relectures anachroniques. On n’ignore pas toutefois qu’un remarquable ensemble de gravures de Goya intitulé « les désastres de la guerre » témoigne avec encore plus de cruauté de l’envers de l’épopée napoléonienne.
Mais je voudrais retenir que Goya, sourd comme Beethoven, sombrant dans la folie de ses « peinture noires », est aussi un fascinant personnage romantique auquel, comme Jean-Paul, je me suis attaché dès mon plus jeune âge.
Permettez-moi d’évoquer « La Maja nue », film médiocre de Henry Koster (1958) dans lequel « la beauté d’Ava Gardner » accréditait la version selon laquelle la Duchesse d’Albe aurait été l’amante du peintre et le modèle de ce nu qui fit scandale.
Jean- Pierre Debauve